Depuis que j’ai 3 ans, j’ai l’habitude de venir passer aux beaux jours les weekends dans notre maison de famille de Chรชne-Arnoult. Moi qui ai grandi citadin, les oiseaux m’ont toujours apportรฉ une bouffรฉe d’oxygรจne. Le chant du Coucou gris, le vol des Hirondelles marquaient l’arrivรฉe du printemps. J’ai le souvenir d’aprรจs-midis passรฉs, allongรฉ dans l’herbe, ร รฉcouter le Pinson et le Bruant jaune.
Depuis quelques mois, j’ai entrepris de dresser l’inventaire des oiseaux qui frรฉquentent les proches environs. J’ai รฉtรฉ surpris par la diversitรฉ des espรจces contactรฉes. Mon installation dรฉfinitive ร Chรชne-Arnoult en mars dernier m’a permis de concrรฉtiser un rรชve : faire le portait de mes vieux et nouveaux compagnons.